La mobilisation-éclair qui fait tâche d’huile en cette fin d’hiver.
Chanson et musique de HK et les Saltimbanks. Paroles à retrouver sur le site paroles.net. Une partition pour orchestre est visible sur musescore. Comprend : flûte traversière, clarinette en Si♭, saxophones (soprane, alto et ténor), trompette en Si♭, trombone, euphonium, tuba en Si♭, caisse claire, guitare acoustique. Mais pas l’accordéon…
Traditonnel typique, les 7 sauts est une danse en cercle du Pays Basque sans contact entre les danseurs. La ritournelle est répétée autant de fois qu’augmentée de sauts jusqu’à 7.
Le congò est une danse traditionnelle de Gascogne. C’est une danse à figures inspirée de la contredanse anglaise1. D’abord réservé aux classes aisées, le congò est ensuite arrivé dans les milieux plus modestes, et est encore aujourd’hui dansé dans les bals traditionnels. Il se danse généralement sur un pas de rondeau et en quadrettes, où les couples se font face. Il existe plusieurs chorégraphies de congos selon la zone géographique.
—> Tablature du Parlement (anonyme XVIe siècle), surFolkadanseavec la 2e voix.
Toute une page sur la petite histoire de ce branle par Jean-Michel Corgeron ici: franches connexions.
Ci-dessous, version complète du Parlement, avec Jean-Michel Corgeron (dulcimer), Maud Spoutil (viole de gambe) à Gennetines (Les Gauthiers) – Grand Bal de l’Europe – Juillet 2017.
Arrangement dulcimer : Michel Legoubé
Chorégraphie du branle : Brigitte Coupé (de Bernard)
La « chapelloise » est une vieille danse traditionnelle suédoise à l’origine appelée Aleman’s Marsj, implantée partout et spécialement en Allemagne où elle était très populaire (Hamburger Promenade).
Baptisée en France par défaut « chapelloise » dans les années 70, et en Écosse « Gay-Gordons », c’est en fait un mixer c’est à dire « une danse collective dans laquelle les danseurs changent continuellement de partenaire, ce qui permet à chacun de rencontrer tout le monde. C’est ce brassage qui lui a valu le nom de « mixer » (appellation d’origine américaine) » cf. wikipedia
La chapelloise comme le cercle circassien sont des mixers récents (fin XIXe s.).
La facilité avec laquelle les néophytes peuvent apprendre les pas et entrer dans le cercle sans problème en fait une danse très conviviale. La Danse de l’ours est un standard des bals trad. d’Occitanie.
Pour la rythmique typique des bourrées à 2 temps (2/4), voir la partition ci-après avec accords doubles en MG et saccades sur MD (accents en rouge) :Marilou Rythmique Lionel.
Dans la vidéo, Delicq joue Crédanses en intro à Marilou.
La bourrée ?
Danse de cour au XVIe s., la bourrée est devenue une danse populaire. En apprendre un peu plus sur le site accrofolk et sur trad95 dans les pages Auvergne et Berry. C’est plutôt dans le Berry que l’on trouve la bourrée droite ou en ligne face au partenaire. Il existe d’ailleurs une « bourrée d’Aurore Sand » (petite fille de Georges Sand) typiquement berrichonne (la partition ici).
La bourrée est en général écrite à 2 temps brefs (2/2), avec un départ précédé d’une levée brève (une croche). Son tempo est vif. Son rythme se caractérise fréquemment par la présence de syncopes. Article Wikipedia.
Écouter la « Bourrée pour les Basques » de Jean-Baptiste Lully.
La boulangère des Plainauds fait partie des « mixers » comme les chapelloises : terme anglo-saxon désignant un type particulier de danse à figures pour un grand nombre de danseurs, dans laquelle on change de partenaire à chaque exécution de la danse. (cf. accrofolk)